Ma Femme Julie 03

Nous n'avons pas attendu longtemps avant que Monsieur Gérard ne se manifeste. Un message sur notre boîte mail, sec, sans appel.
?Samedi soir 20h, je viendrai vous chercher. Robe, lingerie et bas noirs pour Julie.?
Nous sommes mardi, le temps pour nous d'imaginer des scénarios plus terrible les uns que les autres. Nous redoutons cette punition, nous savons qu'elle était là pour nous convaincre de ne plus nous rebeller.
Le samedi venu, Julie se pare d'une robe noire fermée dans le dos, d'un soutien gorge, d'un string et d'un porte jarretelle en dentelle. Ses jambes sont gainees de bas en voile noir.
Perchée sur ses escarpins, sa silhouette est voluptueuse. Mon épouse inspire le désir.
A 19h30, monsieur Gérard se présente à notre porte.
- Julie tu es irrésistible, j'ai pensé à toi toute la journée. Ton mari t'a offert à beaucoup d'hommes, moi je n'ai profité que de ta bouche. Il est temps que je te baise. Mets toi en levrette.
Soumise, mon épouse se positionne à quatre pattes.
- David, qu'est-ce que tu attends, offre moi le cul de ta femme.
Ne désirant pas rendre la punition plus sévère, je relève la robe de Julie sur ses reins, dévoilant ainsi ses fesses faiblement protégées par le triangle de dentelle noire. Les bas noirs et les jarretelles font ressortir la blancheur de sa peau.
Je retire le string et écarte les cuisses de Julie.
- Je vous offre le cul de ma femme.
- Merci, je vais bien en profiter.
Il place sa verge à l'entrée de son vagin et pénètre mon épouse profondément. Ses mouvements sont amples et sa queue ressort du fourreau intégralement avant de replonger dans l'intimité de Julie. Le corps de ma femme réagit et sa bite est de plus en plus humide. Il baise maintenant Julie violemment et son pubis heurte les fesses de ma femme brutalement.
- Je vais jouir.
Il contourne ma femme et vient forcer ses lèvres.
- Avale, je ne voudrais pas souiller ta chatte dès le début de la soirée!
Julie déglutit le sperme et nettoye le sexe avec application.
- Il faut te rhabiller, tu vas finir par nous mettre en retard!
Nous sortons, Monsieur Gérard se place au volant, ma femme à la place passager et moi derrière.
- Nous avons trente minutes de route, Julie pose tes pieds sur le tableau de bord. Parfait, remonte ta robe. Magnifique, quelle jolie vue, tes cuisses sont vraiment superbes. Mets ta main dans ton string, et masturbe toi. Tu n'as pas joui, ça doit te manquer.
Mon épouse commence à se toucher, on voit ses doigts s'agiter sous la dentelle. Encore une fois son corps la trahit, et elle ne tarde pas à gemir.
- On ne voit pas bien. Enlève ton string et écarte les cuisses au maximum.
Julie est dans une pose totalement obscène. Le sexe complètement ouvert et se fouillant avec deux doigts. Les piétons et les occupants des autres véhicules doivent apprécier le spectacle, d'autant plus que Monsieur Gérard allume le plafonnier du véhicule pour humilier davantage ma femme. Désirant en finir le plus rapidement possible pour mettre fin à son exhibition, Julie se doigte profondément avec deux doigts de sa main droite, pendant que le majeur de sa main gauche frotte son clitoris. Son bassin va au devant de ses caresses, elle s'arc boute et jouit en refermant les cuisses sur ses mains.
- Tu n'as pas honte de jouir en te masturbant devant ton mari? Mais profite en, ta soirée sera peut-être moins agréable. Ce soir, tu vas subir ta punition. Nous allons dans un club pour adultes.
Mais je ne t'en dis pas plus, il faut garder la surprise!
Monsieur Gérard se gare dans une petite rue. Le club n'a pas vraiment pignon sur rue, seule une plaque indique son emplacement. Nous entrons dans un couloir étroit, au bout une porte avec sonnette et judas. Monsieur Gérard signale notre présence. Visiblement il est connu, car la porte s'ouvre immédiatement. Nous entrons dans un petit hall, ambiance tamisée. On nous propose de nous faire visiter les lieux, mais Monsieur Gérard décline l'offre et déclare qu'il fera découvrir l'établissement lui même à ses invités le temps venu.
Nous découvrons un bar avec une piste de danse éclairée de néons roses et bleus. Monsieur Gérard choisit une table où nous nous installons. Des cocktails trabzon escort nous sont apportés.
Une trentaine de personnes sont présentes. Des couples et quelques hommes seuls.
- David, vas proposer à un de ces Messieurs de danser avec ta femme. Dis lui bien qu'elle obeira à tous ses désirs!
Je m'approche d'un homme, la cinquantaine, grisonnant et un peu bedonnant. Je lui désigne Julie, il la trouve charmante. Il se dirige vers notre table, prends ma femme par la main et l'entraîne sur la piste de danse. La musique est langoureuse. Il enlace Julie et la serre contre lui. Un de ses genoux s'insinnue entre les cuisses de mon épouse. Il chuchote à l'oreille de ma femme et on voit qu'immediatement Julie frotte son sexe sur la cuisse du danseur. Il caresse son dos et descend jusqu'à ses fesses. Il les masse quelques instants puis remonte en entraînant la robe. Tout le public a les yeux rivé sur le couple. La peau blanche des cuisses apparaît entre le noir des bas et de la robe.
L'homme passe derrière ma femme et frotte son sexe contre ses fesses. Il empaume ses seins, les malaxe et excite les tétons à travers la robe. Ses mains caressent son cou et sa nuque et descendent la fermeture. Le vêtement glisse aux pieds de Julie. La fermeture du soutien gorge ne résiste pas longtemps et ma femme se retrouve torse nu, les seins fièrement dressés. Les doigts glissent le long du ventre accrochent le string qui va bientôt rejoindre la robe. Mon épouse est nue sur la piste de danse.
Monsieur Gérard se dirige vers elle et lui passe autour du cou un collier pour chien et fixe à celui-ci une laisse.
- Tu ne pensais quand même pas que ta punition allait être aussi douce? Mets toi à quatre pattes comme une chienne. Mesdames, Messieurs, je vous présente Julie. C'est une soumise qui a récemment rechigner à exécuter un de mes ordres. Aujourd'hui est un jour de punition. Je vais passer à vos tables, chatiez la comme bon vous semble.
Monsieur Gérard tire sur la laisse, ma femme suit tant bien que mal, ses fesses se balançant au rythme de sa progression et ses seins pendant vers le sol. La première table est occupée par un homme seul. Il positionne Julie à travers de ses genoux et commence à la fesser. Il alterne entre la fesse gauche et la droite. Ma femme se tortille pour échapper à la brute, mais rien y fait. Son cul rougit à vue d'?il. Au bout d'une vingtaine de fessées, il arrête enfin. Julie les larmes aux yeux gagne la table suivante. Un couple l'occupe. Elle fait face à la femme. L'homme lui tire les cheveux vers l'arrière offrant ainsi la poitrine de mon épouse à sa compagne. Un gifle magistrale s'abat sur chacun des seins, Julie ne peut réprimer un cri de douleur, puis les tetons son étirés, pincés. De rose pâle la couleur devient brune, la pointe de ses seins est allongée et gonflée. Le couple suivant semble avoir pitié, la femme lui dépose un baiser sur les lèvres et son compagnon passe une serviette humide sur ses fesses.
Cela ne semble pas plaire à Monsieur Gérard qui tire violemment sur la laisse pour la présenter à un autre couple. La femme entre un doigt dans la bouche de ma chérie et fouille l'intérieur. Puis ajoute un deuxième doigt, puis un troisième. Elle les enfoncent profondément provoquant des haut le c?ur à sa victime. Pendant ce temps, l'homme se saisit de l'agiteur dans son cocktail et le fait penetrer dans l'anus de mon épouse. Trouvant cela très drôle, il se met à l'agiter, comme il l'aurait fait dans sa boisson. Ma femme essaye d'échapper à cette abjecte intromission, mais les doigts fouillant sa bouche l'empêche de bouger.
A toute les tables ce furent que brutalites et humiliations. Une femme a même frotté sa chatte sur le visage de Julie. Un client s'étant inspiré de l'agiteur dans l'anus de ma femme, a enfoncé un glaçon dans le rectum de mon épouse et a attendu qu'il fonde pour voir l'eau s'écouler doucement de l'anus. La brûlure provoquée par la glace est insoutenable pour Julie qui laisse échapper un long gémissement plaintif.
Monsieur Gérard estimant que c'était suffisant, entraîne sa victime toujours à quatre pattes vers une autre salle.
La présence de trois hommes nus cagoulés ne presageait rien de bon. Sur le mur du fond une croix, au centre tunceli escort de la pièce un banc, sur les murs divers instruments sont suspendus. Dans le bar les couleurs rose et bleue dominaient, ici tout est noir.
Un des hommes se saisit de Julie et l'attache sur la croix avec des menottes face à nous. Les bras et les jambes sont écartés. Sur le mur, il choisit un baillon avec un gode et une lanière. Il force la bouche de ma femme avec le sexe en plastique, l'enfonce au maximum et noue la lanière derrière la nuque. Il relie l'arrière du baillon à un anneau installé dans le mur. La tête de Julie se trouve immobilisée. Instantanément, la salive coule sur son menton et se répand sur sa poitrine. Son bourreau place sur ses seins des pinces à tétons qu'il relie avec une chainenette. Ma femme grimace, mais aucun son se sort de sa bouche. Il tire sur la chaîne pour étirer les seins. Julie accompagne le mouvement, mais les menottes limitent la progression et le moindre mouvement vers l'avant provoque une penetration plus importante du gode dans sa gorge.
Le deuxième bourreau s'empare d'un martinet et commence à flageller d'abord la poitrine, puis le ventre et enfin l'intérieur des cuisses entre le sexe est les bas. Ma femme gemit sourdement mais les lèvres de son sexe commencent à s'humidifier. L'exhibition forcée devant ses tortionnaires et la dizaine de personnes qui suivent son humiliation fait réagir son corps. Les coups ne sont pas violents, pas de blessures, l'homme veut exprimer sa domination.
Le troisième detache mon épouse et la place en levrette sur le banc. Il choisit une barre d'écartement qu'il positionne entre les chevilles, et relie les poignets à cette barre. Julie se retrouve le cul en l'air parfaitement accessible. Sur une étagère sont disposés plusieurs plugs anaux, il choisit le plus large, je l'evalue à six centimètres de diamètre. Il le présente devant l'?illet de ma femme et sans lubrifiant commence à pousser. Julie essaye de se soustraire à cette intrusion, mais toutes ses tentatives ne font que relever les fesses un peu plus. La pointe du plug force le passage et millimètre par millimètre l'objet pénètre le rectum. L'anus s'élargit, une pression supplémentaire et le plus gros diamètre est atteint. Le bourreau arrête la progression pour savourer sa victoire. La corolle est distendue, une dernière poussée et le plug semble aspirer par le cul de Julie. L'homme exerce des rotations avec l'objet, le ressort de quelques centimètres pour déformer l'anus, puis le relâche. Finalement, il retire doucement le plug, l'orifice est béant, obscène. Il s'écarte afin de laisser la vue aux spectateurs, puis fait penetrer le plug en une seule poussée. Julie geint à travers son bâillon et un flot de salive s'écoule sur le banc.
L'homme au martinet prend le relais et commence par fouetter le dos puis descend sur les fesses. Les lanières s'abattent sur les deux lobes offerts. Le cul de ma femme rougit rapidement et là encore de la cyprine coule de son vagin. Le tourmenteur décide de changer d'instrument, il choisit une cravache. Il s'applique à viser la partie du plug visible. Les déflagrations provoquent des soubresauts à Julie. Le bout plat de la cravache s'attaque maintenant à la chatte de mon épouse. L'homme alterne entre les coups sur la vulve, et les passages de la tige entre les lèvres de son sexe. Pour humilier sa victime, il recherche visiblement à provoquer l'orgasme sous la contrainte. La tige de la cravache coulisse maintenant sur le clitoris. Le cul de Julie s'agite de plus en plus, la jouissance ne tardera pas. Le tortionnaire décide alors de retourner l'instrument et introduit le manche dans le vagin de ma femme. Les va et vient de la cravache sont de plus en plus rapide, Julie accompagne les aller-retour avec ses fesses. Toutes les personnes du public sont devetues, femmes et hommes se masturbent devant le cul de ma femme pénètré par le plug et la cravache.
Mon épouse salive abondamment sur le gode et dans un dernier spasme l'orgasme l'envahit.
Les trois bourreaux sont en pleine érection.
L'un d'eux approche, enlève le plug et encule Julie sans ménagement, les penetrations sont violentes et profondes. Ma femme subit les assauts, ses fesses tremblent à chaque uşak escort percussion du pubis de son martyriseur. L'homme est débout, les jambes entre le banc, il tient Julie par les hanches et pistonne son cul sans relâche. Dans un dernier coup de bassin, il s'enfouit au plus profond de ma femme et éjacule dans son rectum.
Les deux autres retourne mon épouse sur le dos. L'écarteur de jambes relié aux poignets, maintiennent les jambes relevées.
L'un des deux choisit sa chatte et la pénètre immédiatement. Julie réagit rapidement et là queue de l'homme ressort de plus en plus humide. Le coît est rapide, son tourmenteur certainement très excité par l'humiliation de ma femme jouit en quelques va et vient. Le dernier prend la place et enfonce sa queue dans le vagin, fait quelques aller-retour, puis penetre son anus. Son sexe est enduit des sécrétions de Julie et du sperme de ses coreligionnaires. Il alterne entre sa chatte et son cul. Beaucoup plus résistant que son collègue, il amène doucement ma femme à la jouissance. Ses yeux se revulsent, son ventre se contracte et l'orgasme la saisit toute entière. La contraction de l'anus de Julie, provoque l'éjaculation de son partenaire qui préfère déverser son sperme sur la vulve et le périnée.
Monsieur Gérard qui ne s'était pas manifesté jusqu'à maintenant, prend la parole.
- Julie même en étant punie tu parviens à jouir.
Tu es quand même une salope qui s'ignore!
Nous allons donc continuer un peu. Messieurs, veuillez enlever le baillon.
L'un des hommes retire la sangle du baillon et extrait le gode de la bouche de ma femme libérant un flot de salive et de bile impressionnant.
- Vous allez replacer un autre baillon, mais avec le gode à l'extérieur.
Julie se retrouve encore muselée avec un gode dans le prolongement de sa bouche.
- Comme il y a des femmes dans l'assistance, j'ai pensé qu'elles aimeraient en profiter. Allez y mesdames.
Une première femme approche, un peu forte, le regard vicieux. Elle chevauche ma femme et se penetre avec le gode. Elle saisit les cheveux de Julie et imprime avec la tête de mon épouse des aller-retour du jouet dans son vagin. Le visage de ma femme baise littéralement sa partenaire. Julie qui a fermé les yeux, reçoit une gifle afin qu'elle regarde l'inconnue droit dans les yeux. Des sécrétions coulent sur son visage. La femme gemit de plus en plus et atteint l'orgasme en mouillant le cou de mon épouse.
La deuxième femme choisit de chevaucher Julie dans l'autre sens et se penetre en écrasant son cul sur le visage de mon épouse. Elle fait bouger ses fesses en s'empalant sur le gode. Pendant cette masturbation, elle tire sur la chaîne qui relie les seins de Julie. Jusqu'à la jouissance elle maltraite la poitrine de ma femme. La troisième prend le plug anal et se place sur Julie de la même manière. Tout en se pénétrant, elle encule mon épouse avec le plug. Elle masturbe l'anus de ma femme avec l'énorme objet, le rentrant et le sortant au gré de sa fantaisie. Le cul de ma femme est complètement dilaté, le sperme de ses précédents tourmenteurs coule le long des ses fesses. Heureusement pour Julie, l'orgasme de sa violeuse ne tarde pas et elle est libérée du plug, laissant libre son anus dévasté. La dernière femme choisit de faire face à mon épouse et se sodomise avec le sexe en plastique. Pendant l'introduction, elle se masturbe énergiquement le clitoris. De la cyprine s'étale sur le visage de Julie. Les yeux de mon épouse sont à quelques centimètres du vagin qui n'en finit pas de couler. La femme introduit deux goigts dans celui-ci et enfonce profondément le gode dans son rectum. Encore quelques mouvements du bassin et l'orgasme qui va libérer Julie arrive.
- Bravo Mesdames, j'espère que vous avez apprécié. Veuillez enlever le baillon s'il-vous-plaît.
Mon épouse peut enfin respirer, son visage est trempé de mouille et de salive. Ses jambes et ses bras sont toujours entravés.
- Pour finir en apothéose, je propose d'offrir à Julie un bukkake. Messieurs, soulagez vous.
Tous les mâles présents se regroupent au dessus du visage de ma femme. Ils se masturbent énergiquement et la recouvrent de leur semence. Les cheveux, les yeux, le nez, la bouche sont recouverts de leur sperme.
On libére Julie de ses liens. Elle est souillée de partout. L'avilissement a été total.
- Ta punition est terminée, j'espère que tu as compris la leçon. Ne t'avise plus de désobéir à un de mes ordres. Tu peux remettre ta robe, tu te nettoieras chez toi.
A suivre ou pas, selon vos désirs...